dimanche 24 février 2013

"Fifty Shades Darker" E.L.James


Quatrième de couverture : 
Daunted by the singular tastes and dark secrets of the beautiful, tormented young entrepreneur Christian Grey, Anastasia Steele has broken off their relationship to start a new career with a Seattle publishing house.

But desire for Christian still dominates her every waking thought, and when he proposes a new arrangement, Anastasia cannot resist. They rekindle their searing sensual affair, and Anastasia learns more about the harrowing past of her damaged, driven and demanding Fifty Shades.

While Christian wrestles with his inner demons, Anastasia must confront the anger and envy of the women who came before her, and make the most important decision of her life.

Mon avis : 
Comme je l'avais prédit dans ma critique pour "Fifty Shades of Grey"  (ici)  il n'y a pas eu de grande surprise. 
Presque 600 pages avec la même chose. Du "je t'aime", du "en fait non tu me fait trop peur", du "en fait si je reviens car je ne peux vivre sans toi", de la baise toujours aussi emmerdante (toujours aussi mal décrit du moins car eux ont l'air de s'éclater au pieu ^^)... Enfin bref... comme le premier ça ce lis mais ça ne m'a toujours pas donné de réponse à tout cet engouement que je ne comprend pas.

Les Misérables


Synopsis : 
Dans la France du 19e siècle, une histoire poignante de rêves brisés, d'amour malheureux, de passion, de sacrifice et de rédemption : l'affirmation intemporelle de la force inépuisable de l'âme humaine.
Quand Jean Valjean promet à Fantine de sauver sa fille Cosette du destin tragique dont elle est elle-même victime, la vie du forçat et de la gamine va en être changée à tout jamais. 

Mon avis : 
Je sors du cinéma et j'en suis encore toute émotionné. 
Ce film es prenant du début à la fin. Mes larmes ont coulés une bonne partie du film. 
C'est magnifiquement bien tourné, magnifiquement bien joué et magnifiquement bien chanté. 
Savoir que les chansons ont étés faites pendant le tournage et non en studio puis retranscrites en playback ça en donne encore plus de magie et d'émotion. 
Un super casting aussi. Russel Crow poussant la chansonnette j'ai trouvé ça magique. Il à une voix superbe. 
Et le petit Gavroche (joué par Daniel Huttleston) était juste parfait. Ce gosse es trop choupinou. 
Vois Helena Bonham Carter en madame Thénardier m'a fait pensé à Mrs Lovett dans Sweeney Todd mais c'est toujours autant un plaisir de la voir. Tout comme Sasha Baron Cohen. C'est dans des films comme celui ci que l'on vois qu'il a un vrai talent. Car ce n'es pas avec Brüno, The dictator ou Borat (même si ce dernier es un des meilleur) que l'ont peu voir grand chose de ses talents. 

Même si il y a des passages que j'aurais plus vu parler que chanter j'ai passé 2h30 mémorables. 2h30 à frissonné devant un magnifique film et j'espère qu'il remportera des statuettes aux oscars ce soir. 

mardi 19 février 2013

"Fifty Shades of Grey" E. L. James


Quatrième de couverture : 
When literature student Anastasia Steele goes to interview young entrepreneur Christian Grey, she encounters a man who is beautiful, brilliant, and intimidating. The unworldly, innocent Ana is startled to realize she wants this man and, despite his enigmatic reserve, finds she is desperate to get close to him. Unable to resist Ana’s quiet beauty, wit, and independent spirit, Grey admits he wants her, too—but on his own terms.

Shocked yet thrilled by Grey’s singular erotic tastes, Ana hesitates. For all the trappings of success—his multinational businesses, his vast wealth, his loving family—Grey is a man tormented by demons and consumed by the need to control. When the couple embarks on a daring, passionately physical affair, Ana discovers Christian Grey’s secrets and explores her own dark desires.

Mon avis : 
J'avais le coffret de la trilogie dans ma bibliothèque depuis plusieurs mois déjà. Mais je doit l'avouer cette saga n'était pas dans ma top liste des livres à lire en ce moment. Comme j'en ai marre de voir ce livre de partout sur la toile j'ai décidé de me lancer et essayer de comprendre pourquoi tout cet engouement autour de ce premier bouquin. 
Et je doit le dire tout de suite. L'engouement je ne l'ai pas compris. 
Ce n'es pas de la grande littérature, c'est pas terriblement bien écrit mais l'histoire ce laisse lire. 
N'étant pas une adepte du Sado Masochisme ou du Dominant-Dominé les passages sexuels ne m'ont pas atteints plus que ça. On aurais pu s'attendre à quelque chose de plus hard mais l'auteure n'a pas réussi à y retranscrire correctement. Je ne me suis pas sentie excité pour un sous et donc n'ai pas eu envie de me joindre à eux ^^ 
Pour les personnages il y a un peu d'attachement car ils sont quand même mignon ensemble. 
Anastasia es très confuse et ce contredit elle même dans ses sentiments et m'a même énervé par moment.
Christian quand à lui m'a fait peur dans ses faits et gestes. Le fait de suivre Ana et d'être aussi collant avec elle à un côté effrayant. Mais dans un autre sens je comprend l’entêtement d'Anastasia à vouloir être avec lui. Il m'a l'air d'être un garçon assez charmant :-P 

Je vais quand même me plonger dans les deux autres tomes mais ne m'attend pas à une grande surprise. Il y a de grandes chances pour que ça soit la même chose...  

 

vendredi 15 février 2013

Django unchained


Synopsis : 
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie… 

Mon avis : 
Hier soir mon Valentin étant malade j'ai décidé de me faire un petit ciné. 
Voulant voir ce film depuis un bon moment j'ai sauté sur l'occasion! le film étant en VO j'ai encore plus pressé le pas jusqu'à mon ciné ^^ 
Je n'ai qu'on mot pour décrire ce film : PARFAIT! 
Encore une fois Quentin Tarantino à mis la barre très haut et encore une fois il à touché dans le mille. 
Une histoire géniale, un casting du tonnerre, de l'hémoglobine en veux tu en voilà, on rigole, on prend des balles dans la tronche... Bref! on ne s'ennuie pas.
J'ai juste trouvé la fin longue. Si j'avais été Tarantino il y a plusieurs moments que j'aurais coupé et aurais ajouté les mots "The End". 
Mais à part cela j'ai passer 2h44 (oui ce film es long ^^) de bonheur. 

je le conseil vivement!

mercredi 13 février 2013

"L'étrange voyage de Monsieur Daldry" Marc Levy


Quatrième de couverture : 
 Londres, 1950
 Alice mène une existence tranquille, entre son travail, qui la passionne, et sa bande d’amis, tous artistes à leurs heures. Pourtant, la veille de Noël, sa vie va être bouleversée. Au cours d’une virée à la fête foraine de Brighton, une voyante lui prédit un mystérieux avenir. Alice n’a jamais cru à la voyance, mais elle n’arrive pas à chasser ces paroles de son esprit, et ses nuits se peuplent de cauchemars qui semblent aussi réels qu’incompréhensibles. Son voisin de palier, Monsieur Daldry, célibataire endurci, gentleman excentrique et drôle, aux motivations ambiguës, la persuade de prendre au sérieux la prédiction de la voyante et de retrouver les six personnes qui la mèneront vers son destin. De Londres à Istanbul, il décide de l’accompagner dans un étrange voyage…

Mon avis : 
A chaque fois je suis déçu avec Marc Levy mais à chaque fois je lui laisse une chance. Comme je m'y attendais la même chose es arrivé avec celui ci. 
Je l'ai trouvé trainant en longueur, plusieurs passages auraient pu être raccourcis sans soucis. 
Je n'ai pas été envouté par les descriptions d'Istanbul et n'arrivais pas à sentir les nombreuses odeurs décritent. 
Il m'a fallu arriver vers les 3 ou 4 derniers chapitres pour réussir à accroché un peu mais bien sûre la fin était prévisible dès le départ. 
Et Marc Levy devais surement être affamé au moment d'écrire son roman car les personnages ne pensent qu'à manger. Cela m'a même énervé de lire que les personnages ne pensais qu'à ce remplir la panse. 

Encore une déception mais je ne perd pas espoir.
 Le Marc Levy des débuts reviendra peut être un jour.